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Le fleuve Niger serpente et traverse la ville en la partageant en deux. Les environs sont paisibles, tapis sous les arbres et entourés de collines. Le Musée National, le Marché Rose, la Maison des Artisans, la Galerie Santoro, la route panoramique de Koulouba, les rues animées et des festivals vivants, Bamako est une première escale fascinante dans votre aventure malienne.

  • Sites & AttraitsTouristiques

La Tour de l’Afrique

Symbole de la matérialisation d’une Afrique unie, libre et en pleine possesion de sa propre destinée, le gigantesque monument majestueusement bâti, qui est la Tour de l’Afrique.Conçu en forme de baobab à la base et orné au milieu par des idéogrammes Bambaras stylisés signifiant concertation, union et entraide, l’ouvrage de 46m de hauteur constitue l’un des symboles de la ville des 3 caïmans.

La Tour est surmontée d’une jarre en passoire inspirée d’un symbole préféré du roi Guezo Dahomé, suggérant que si chaque fils du pays bouchait d’un de ses doigts un trou de l’ustensile, il pourrait bien contenir de l’eau.

Elle est localisée dans la commune VI du district de Bamako côté Est du Boulevard de l’Union Africaine où elle sert d’épicentre au grand rond-point de Faladié.

TOUR DE L' AFRIQUE

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Premier site d’information culturelle au Mali

le tour d'afrique de bamako

La Tour de l’Afrique: une renovation made in Mali

La Tour de l’Afrique se fait peau neuve à Bamako. Du haut en bas, de l’intérieur à l’extérieur, a un nouveau visage qui séduit, un visage qui rend plus resplendissant la ville des trois caïmans. Ces jeunes engagés et talentueux sont au nombre de sept (7) à l’origine de ce projet de rénovation, des jeunes artistes plasticiens, sortants du conservatoire Balla Fasseke et de l’institut national des arts (INA) de Bamako et plus cinq (5) assistants, à avoir fait ce magnifique, dans le but également de prouver aux Maliens que le Mali peut compter sur ces talents. Sollicités par l’entreprise « SAMAK », maître d’ouvrage, satisfait: «on est plus que comblé du travail réalisé par ces jeunes talentueux et c’est avec un sentiment de satisfaction qu’on les félicite, puisqu’on ne regrette pas d’avoir pris le risque de leur avoir confiée cette rénovation.

Une action patriotique, doublée de satisfaction professionnelle

Le budget alloué à ce projet comme le confirme, Samassekou Nouhoum Directeur de SAMAK était raisonnable. Monsieur Daouda Traoré directeur de projet se montre notamment satisfait: « même si on ne gagne pas d’argent, on est fier de voir que les Maliens aiment notre proposition de rénovation. Bien vrai qu’au début, on doutait un peu de notre potentiel à relever le défi qui était de repeindre les murs. On nous avait demandé quatre (4) semaines pour réaliser le travail mais on l’a fait en douze (12) jours et tout le monde est sous l’admiration. L’œuvre en question sur les murs s’appelle «fresque murale» qui a rendu plus originale la Tour et maintenant on peut dire qu’elle est un monument à la Malienne» 

Des bamakois en admiration

Aminata Diarra vendeuse de fruits à côté de la Tour de l’Afrique ne cache pas sa joie: «Je suis tellement contente de voir cette rénovation qui est une très bonne initiative car ça faisait longtemps que les gens ne portaient plus leurs regards sur la Tour et cette rénovation va les pousser à venir visiter», qui est le même cas chez Mamadou Keïta, venu visiter la Tour « Elle m’a vraiment séduit, je passe tous les jours par ici, je n’avais jamais prêté attention à ce monument mais aujourd’hui voir cette œuvre m’a poussé à venir ».

Il faut rappeler que, la Tour de l’Afrique porte à son sommet une jarre percée qui est l’illustration de la célèbre sentence du roi Ghezo du Bénin et qui était devenue la devise de la très combative Fédération des Étudiants d’Afrique noire en France (FEANF). « Si tous les enfants du pays venaient par leurs mains groupées, boucher les trous du canari, le pays serait sauvé ». Un appel à l’unité qui fait la force et la vocation panafricaniste du Mali qui se conjugue avec ses engagements pour certaines causes.

Les jeunes étudiants du conservatoire, de l’INA et entrepreneurs maliens démontrent que le Mali peut compter sur ses talents, fabriqués à la maison.

Korotoumou Cissé

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Sortir à Bamako

Le premier city-guide de Bamako vous informe de toute l'actualité et des bons plans pour vos sorties et loisirs.

7 monuments à absolument voir

Envie de vous balader ? Et si vous partiez à la découverte de ces monuments ?

Le monument de l’indépendance

Monuments de Bamako - Indépendance

Monument inauguré à l’occasion du 35ème anniversaire de l’indépendance du Mali, le 22 Septembre 1995 , par l’ancien président du Mali Alpha Oumar KONARÉ .

Inspiré du style architectural soudano-sahélien, Le monument de l’indépendance se situe au Boulevard de l’indépendance.

En vous rapprochant de plus près, vous remarquerez sur des tablettes à sa base, les noms des acteurs de l’indépendance.

L’hippopotame ou Màli

Monuments de Bamako - Hippopotame

Au Mali, l’hippopotame est au centre d’une des plus belles légendes mandingues (Mali Sadio). Racontée différemment dans la majorité des grandes familles maliennes et chantée par les griots, la légende de Mali Sadio a plusieurs versions. Ce monument se situe au boulevard de l’indépendance.

Non, le nom du Mali ne provient pas de cet animal.

Place Mamadou Konaté ou encore Sama B à

Monuments de Bamako - Place Mamadou Konaté

Pourquoi ce monument porte-t-il le nom de Mamadou Konaté, qui est-il ? Mamadou Konaté est le 1 er  vice-président africain-noir de l’Assemblée nationale française et l’un des pionniers de l’indépendance du Mali. La place Mamadou Konaté se situe à Hamdallaye. L’éléphant est le symbole de la RDA ( Rassemblement démocratique Africain ).

Monument de la paix ou Kono B à

Monuments de Bamako - La Paix

Le Monument de la Paix de Bamako et celui de Tombouctou sont consacrées à la réconciliation nationale suite au douloureux conflit qui avait sévi au nord du Mali dans les années 90. Inauguré le 21 novembre 1996, le monument de la Paix se situe à la cité ministérielle.

Obélisque ou Bougie Ba

Obélisque de Bamako

Le monument de l’obélisque comporte sur ses côtés plusieurs idéogrammes de différentes origines ethniques maliennes. Vous trouverez dessus la traduction française de ses idéogrammes. II se situe à Hamdallaye ACI 2000

Place Kwamé  N’Krumah

Kwamé N'krumah

c’est une statue à l’effigie de l’ex Président Ghanéen Kwamé N’kruma en habit traditionnel. Kwamé N’krumah n’est plus à présenter, c’est une des figures historiques du panafricanisme. Inauguré le 1er mars 2000, ce monument se situe à l’ACI 2000.

Tour de l’Afrique

Monuments de Bamako - Tour de l'Afrique

La Tour de l’Afrique est conçue en forme de baobab, il a une hauteur de 46 m. Décorée à l’extérieur d’idéogrammes Bamanan, ce monument est un appel à l’unité. Elle se situe à Faladié.

Bamako c’est la ville aux multiples monuments ! Bonne balade !

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le tour d'afrique de bamako

Ambassade du Mali au Canada

50 Avenue Goulburn Ottawa, Ontario K1N 8C8

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La tour d’afrique.

April 24, 2018 in Images du Mali , Lieux , Monuments

Conçue comme un baobab géant de 46 mètres avec à la base des contreforts saillants, la tour se situe à l’entrée de la ville sur une des voies d’accès à l’aéroport de Bamako. Elle est décorée à l’extérieur d’idéogrammes bamanan évoquant la concertation, l’union et la solidarité. Elle porte à son sommet une jarre percée qui est l’illustration de la célèbre sentence du roi Ghezo du Bénin et qui était devenue la devise de la très combative Fédération des Étudiants d’Afrique noire en France (FEANF). “Si tous les enfants du pays venaient par leurs mains groupées boucher les trous du canari, le pays serait sauvé”. Un appel à l’unité qui fait la force. La vocation panafricaniste du Mali se conjugue avec ses engagements pour certaines causes.”

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Visiter Bamako : les 20 choses à faire dans le pays

Bamako est la capitale du Mali et le tourisme n'est pas encore très développé. Découvrez les 20 choses à voir dans la capitale ainsi que dans les environs de Bamako pour passer un bon séjour.

Visiter Bamako : les 20 choses à faire dans le pays

- La cathédrale de Bamako : c'est l'un des sites les plus visités à Bamako. La cathédrale mauve est très jolie.

Découvrir notre dernier podcast

- La tour de l'Afrique : c'est le symbole de la ville. La tour ressemble à un baobab géant.

- La place de la liberté : la place rend hommage aux héros de l'armée noire.

- Le marché de Médina Coura : c'est un très grand marché à Bamako et l'on trouve de nombreuses choses.

- Le marché rose : le marché se trouve dans un bâtiment néo soudanais et c'est l'endroit parfait pour faire du shopping.

- Le musée national du Mali : c'est l'un des plus beaux musées d'Afrique et l'on trouve de nombreuses œuvres d'art du Mali.

- La piste touristique de Koulaba : la colline donne une vue imprenable sur Bamako.

- La chaussée submersible de Sotuba : c'est le premier pont de Bamako qui relie Bamako à Sotuba. Le chemin offre de très beaux paysages.

- Chute d'eau de Gouina : c'est une très belle chute d'eau et elle est très connue au Mali.

- L'arche de Kamadjan : le site se trouve à côté de Siby. L'arche est très jolie et les paysages sont magnifiques.

- Grande mosquée de Bamako : c'est la plus grande mosquée de la ville et elle est jolie.

- Railda : c'est le marché le plus connu de Bamako et c'est l'endroit parfait pour faire des rencontres et apprendre la culture des habitants

- La case sacrée de Kangaba : l'édifice est très important pour les habitants du Mali et le site est classé au patrimoine culturel de l'humanité.

- Parc de Woyowayanko : il y a de nombreuses choses à voir dans le parc comme les tombes des sofas ainsi que la statue de Kémé Bourama.

- Siby : c'est un petit village au Mali et il y a de nombreuses choses à voir autour du village.

- Teriya Bugu : aussi connu comme étant "la case de l'amitié" le centre de tourisme écologique se trouve à plus de 3h de bamako.

- Falaise de Bandiagara : la falaise est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. La falaise fait plus de 200km et offre de très beaux paysages.

- La Maison des Artisans : on y trouve de nombreuses créations artisanales et c'est l'endroit parfait pour faire du shopping à Bamako.

- La réserve de Baoulé : c'est un très beau parc national qui se trouve dans les environs de Bamako.

- Le lac artificiel de Sélingué : c'est un lac artificiel mais il y a des villages de pêcheurs à visiter.

Voyage en Afghanistan : les 20 lieux à visiter

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BAMAKO, la rivière aux caïmans

  • Zones touristiques

Bamako se trouve  dans une cuvette entourée par cinq sommets des monts Manding (Koulouba  404m, Farakoulou 463m, Kouloumagni Koulou 483m, Point G Koulou 493m et Lassa Koulou 504m). Fondée en 1640 par les familles  Niaré, Touré, Dravé et Somono, la ville des trois caïmans est  la capitale politique et administrative de la République du Mali. Erigée en district, Bamako couvre une superficie de 1420  km² repartie en six communes urbaines. Les rues de la ville de Bamako sont animées, actives et colorées. Bamako est à la fois charmante, authentique et traditionnelle. La ville dispose d’infrastructures touristiques modernes et en pleine expansion.

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SITES ET CURIOSITES : 

Traversée par le fleuve Niger, Bamako est  un site touristique où se côtoient le tourisme d’affaires, de congrès,  d’agréments et de loisirs.

L’originalité de la ville de Bamako réside en la présence de nombreux bâtiments inspirés de l’architecture sahélo-soudanienne : le palais de Koulouba,  les quartiers administratifs de Darsalam, de Bamako Coura, l’Institut National des Arts, la Maison des Artisans et le  Conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasseké Kouyaté.

Les charmes discrets de Bamako sont ces monuments et ces places qui ont étéédifiés dans l’espoir de promouvoir le patrimoine culturel et historique pour l’épanouissement intellectuel des citoyens. Sont de ceux là :

  • La cathédrale de Bamako en grès mauve;
  • Le mémorial Modibo Keita , édifié en mémoire du premier président  du Mali (1915-1977)
  • La Tour de l’Afrique symbole de l’unité africaine;
  • La place de la Liberté , dédiée aux Héros de l’armée noire ;
  • La place Mamadou Konaté un des pères de l’Indépendance du Mali (1897-1959)
  • Le monument de l’Indépendance  ;
  • Le monument Saanè ni Kontron dédié  à la confrérie des chasseurs ;
  • Les monuments dédiés à la Coupe d’Afrique des  Nations 2002  ;
  • Le Palais et les monuments de Koulouba « colline du pouvoir ».
  • Les grands marchés de Bamako,
  • Le marché de Médina Coura , pittoresque marché où se côtoient pharmacopée traditionnelle, matériaux de récupérations, condiments et autres ;
  • Le marché rose , bâtiment de style néo soudanais est une véritable caverne d’Ali Baba ;
  • Le marché des antiquaires de N’golonina  ;
  • La Maison des Artisans , pèle mêle de joailleries, poteries, maroquineries, vanneries, tissages, sculptures ;
  • Les bijouteries d’or et d’argent de Bamako-Coura

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Les parcs de Bamako : 

  • Le parc de Woyowayanko à Koniambougou comprend : la statue de Kémé Bourama l’un des vaillants Sofa de Samory, les tumulus et les tombes des sofas ;
  • Le parc botanique couvre une superficie de 17 hectares et abrite des échantillons de la flore ;
  • Le parc zoologique et botanique , accueille des spécimens de faune et de flore de la savane.

Les Musées de Bamako :

  • Le Musée National du Mali , l’un des plus beaux d’Afrique est un espace d’admiration de collection antique, de sculptures, de peintures et autres joyaux du Mali ;
  • Le Musée du District de Bamako , l’ancien fort de Bamako,
  • Le musée ‘’Muso Kunda’ ’, Musée de la femme ;
  • L’univers des rêves paisibles de Bamako (restaurant le Santoro, de l’hôtel le Djenné et du Centre Amadou Hampaté Ba).
  • La piste touristique de Koulouba ou du Point G offre une vue panoramique de Bamako. La grotte préhistorique du Point G contient des peintures rupestres.
  • Les matériaux lithographiques provenant de la grotte préhistorique du Point G sont exposés au jardin de la Préhistoire du Musée National du Mali.
  • La Chaussée submersible de Sotuba avec le barrage des Aigrettes est un lieu des offrandes, d’incantations et/ ou de vénérations des esprits ou des djinns.

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Les manifestations : 

  • Les rencontres biennales de la photographie de Bamako : un événement culturel qui regroupe les ténors de la photo du monde entier ;
  • Le festival dense Bamako danse ;
  • L’Etonnant voyageurs ;
  • Théâtre des Réalités, Paris – Bamako ;

EXCURSIONS : 

Bamako offre aussi d’intéressantes possibilités de découvertes en ses environs :

  • Massala (40 km de Bamako) - village de pêcheurs ;
  • Koulikoro (60 km de Bamako)  pour revivre l’histoire mystérieuse de la disparition roi du Sosso  Soumangourou Kanté, dans les collines du Nianan ;
  • Pays Mandé :
  • Siby (55 km de Bamako) - l’Arche de Kamadian, les chutes d’eau de Dandan  et les grottes préhistoriques  de Kouroukorokalé.
  • Kangaba (96 km de Bamako) – capitale du Mandé avec sa Case Sacrée et la clairière historique de Kouroukanfouga.
  • Bancoumana et sa Base Nautique ;
  • La réserve du Baoulé (120 km de Bamako).
  • Le Lac artificiel de Sélingué (140 km de Bamako) – lacs artificiel et historique du fleuve Sankarani, visite des villages de pêcheurs, de l’embouchure des deux affluents (Sankarani et Wasssouloubele), le barrage, le port de pêche traditionnelle, etc.

Espaces de conférences et de loisirs :

  • Le  Centre International des Conférences de Bamako Tél. +223 20 23 43 24
  • Le Palais de la Culture Amadou Hampté Ba Tél. +223 20 22 33 70
  • Le complexe Bibliothèque, les Archives Nationales le Centre National de Documentation Tél. +223 20 29 94 23
  • Le cinéma Babemba Tél. +223 20 23 95 77
  • Le Centre Culturel Français Tél. +223 20 23 08 90
  • Espace Culturel Le Blonba
  • Le conservatoire des Arts et Métiers Multimédia Balla Fasséké Kouyaté Tél. +223 20 22 08 85
  • Luna ParkTél. +223  20 21 73 33

RENSEIGNEMENTS :

Bureau Régional du Tourisme et de l’Hôtellerie de Bamako

Mali Tourisme recommande aux visiteurs :

  • D’éviter de distribuer des cadeaux aux enfants (jetons, sacs, bics, bonbons etc.… aux enfants)
  • D’utiliser les services des guides agrées, seuls autorisés a exercer ce métier. Ils sont reconnaissables par les insignes et les cartes professionnelles

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Mali Tourisme

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Tour de l'Afrique à Bamako

Bamako, la ville du grand fleuve

Sommet de la tour d'une hauteur de 46 mètres, érigée Place de l'Afrique, au carrefour des principaux axes routiers passant par Bamako. Elle assemble divers éléments issus du patrimoine africain.

Cette photo n'est pas libre de droits.

Bamako

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Pays des merveilles !

10 Choses à Visiter à Bamako

1. le musée national de bamako.

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 2. Le Parc National du Mali

OpenStreetMap Mali on Twitter: "Mapathon #Map4Ml sur https://t.co ...

3. Zoo De Bamako

Et si on allait au Zoo National du Mali ? | Visiter l'Afrique

4. La Maison des Artisans

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5. Direction Nationale du Patrimoine Culturel

Direction Nationale du Patrimoine Culturel

6. Parc de Cité UNICEF avec les jeux d’attraction Bamako

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7. Grand marché de Bamako

Grand marché de Bamako

8. Bougie ba bamako

A Nous Bamako - 🇲🇱 Monument de l'obélisque (Bougie Ba ...

9. Tour d’afrique bamako

Tour de L' Afrique | Mapio.net

10. Monument de l’Indépendance

Fichier:Monument de l'indépendance - Bamako.jpg — Wikipédia

Bonus Aire de Jeux

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Chapitre I - Origines et histoire de Bamako

sem-link

  • Référence bibliographique

Diakite Drissa. Chapitre I - Origines et histoire de Bamako. In: Bamako. Ecole Normale Supérieure de Bamako Département d'Etudes et de Recherches d'Histoire et de Géographie. Talence : Centre de recherche sur les espaces tropicaux, 1993. pp. 7-22. ( Pays enclavés )

www.persee.fr/doc/payen_0989-6007_1993_ant_6_1_902

  • RIS (ProCite, Endnote, ...)
  • A - Traditions relatives à la fondation de Bamako [link]
  • B - Les premiers habitants : agriculteurs bamanan, commerçants et artisans maures, pêcheurs bozo [link]
  • C - De Biton à Samori : Bamako et les États soudanais des XVIII e - XIX e siècles [link]
  • A - À l’assaut du verrou soudanais [link]
  • B - Bamako, chef-lieu de la colonie du Soudan [link]
  • Bibliographie [link]

Liste des illustrations

  • Fig. 4 - Ancien Bamako (Reconstitution schématique d'après A.C. Niaré) (Reproduit par le Bureau de Cartographie du DER Hist-Géo En Sup d'après Cl. Meillassoux, 1963) [link]
  • Fig. 5 - Kafo de Bamako. Reproduit par le bureau de Cartographie du D.E.R. Histoire et Géographie de l'ENSUP d'après Claude Meillassoux 1963 [link]
  • Fig. 6 - Bamako et ses environs (mission topographique de 1882-1883) [link]

Texte intégral

le tour d'afrique de bamako

Fig.4 -Ancien Bamako

(Reconstitution schématique d'après A.C. Niaré)

(Reproduit par le Bureau de Cartographie du DER Hist-Géo En Sup d'après Cl. Meillassoux, 1963)

ORIGINES ET HISTOIRE DE BAMAKO

par Drissa DIAKITE

I - Bamako à l’époque précoloniale

«U Histoire de Bamako, à ses débuts, est pleine de mystère» a écrit Madame Villien-Rossi. Tous ceux qui s’intéressent à l’histoire de la fondation de la ville s ’en rendent rapidement compte. Il n’ y a rien d ’étonnant à cela, quand on sait que l’histoire précoloniale de l’actuelle capitale du Mali est tributaire de la tradition orale. Non seulement histoire et légendes s’entremêlent, mais les intérêts divergents des groupes concernés ont conduit à l’introduction de variations ou déformations qui rendent ardue l’exploitation des informations recueillies ; enfin, la construction d’un canevas chronologique n’est pas aisée à partir des données de la tradition orale. Par confrontation avec les écrits des explorateurs européens des XVIIIe-XIXe siècles, on est néanmoins en mesure de proposer quelques repères. Notre ambition se limitera par conséquent à dégager, pour ce qui concerne la «Bamako précoloniale», une évolution historiquement vraisemblable.

L’histoire précoloniale de Bamako est évidemment partie intégrante de l’histoire générale de cette région d’Afrique occidentale au sud du Sahara, où l’intégration étatique, les échanges commerciaux, ont mis en contact des groupes ethniques divers : Soninké, Malinké, B amanan, Arabo-Berbères, Peul, etc...

Située sur la rive du fleuve Niger, Bamako serait restée longtemps insalubre en raison de son site marécageux. Pourtant, l’occupation ancienne de la région ne fait aucun doute, les nombreux vestiges archéologiques sont là pour en témoigner : sites de Manyanbugu et de Bankonin�, grottes du Point G et de Kuluba, etc...

Des traditions locales rapportées par M. Sarr font des populations tarawélé et konaté, originaires du Wagadu et de Walata, les premières de la région. Elles auraient fondé Sôkènafin, Mikungo, Farakôba, etc... avant d’être rejointes par des populations bula (affranchis) et peul (pasteurs). Les Bula occupèrent la vallée de Nyamanko, tandis que les Peul s’installaient sur le site qui porte aujourd’hui leur nom : Fuladugu-Bankôninl. C’est bien plus tard qu’arrivèrent sur l’emplacement actuel de Bamako les populations d’origines bamanan, maure et bozo, qui se disputent depuis la paternité de la fondation de la ville.

* Professeur à l'Ecole Normale Supérieure de Bamako

A - Traditions relatives à la fondation de Bamako

Les versions relatives à la fondation de Bamako sont nombreuses. Parfois apparentées, parallèles, ou divergentes, ces traditions laissent le cher¬ cheur perplexe. Elles conduisent à de nombreuses interprétations étymologi¬ ques du nom de la ville. En outre, la date de la fondation de Bamako est incertaine. Certaines traditions indiquent qu’elle remonte «au temps de Bitôn Kulubali», fondateur du royaume bamanan de Ségu, c’est-à-dire vers la fin du XVIIe ou le début du XVIIIe siècle. En tout cas, des liens privilégiés semblent avoir existé entre Ségu et Bamako.

Selon une première version en effet, l’ancêtre des Nyaa, dénommé Séribajan, aurait été accueilli à Ségu avant de rejoindre l’emplacement de la future Bamako. Il aurait même reçu en mariage l’une des sœurs du roi de Ségu (Simba).

Séribajan Nyakaté� serait originaire de Lanbidu, près de Nyoro du Sahel, dans le Kaarta. Certaines traditions le rattachent à la première dynastie des rois de Jaara�. C’est à la recherche de terres de culture ou de terrains de chasse qu’il aurait émigré dans la vallée du Niger où il va fonder le village de Bamako.

Au carrefour de la route du sel et des chevaux et de la route de l’or et de la cola, Bamako a attiré également des populations marchandes, enl’occurrence les Maures Turé et Drawé. Certaines versions de la tradition orale soutiennent que les Maures Turé précédèrent les Nyaaré sur l’emplacement actuel de Bamako. Simplement, ils mirent du temps à se fixer, car en raison de leur activité, ils étaient très mobiles, parcourant sans cesse les régions environnantes�.

Leur ancêtre Talifi Mahamane serait venu de Tamentit dans le Twat. Après avoir séjourné quelque temps à Tunbutu (Tombouctou), puis à Jenné, il se serait dirigé plus au sud et aurait fini par s’installer à l’emplacement actuel de Dabanaani où il fit construire la première mosquée de Bamako.

Un point commun à ces différentes versions est que le Bamanan Nyaaré et les Maures Turé trouvèrent sur place le campement d’un chasseur venu du Manden tout proche, Banba Sanogo (ou Keyita). Originaire de Samalen, Userait le véritable fondateur de Bamako, mais serait rentré dans son pays en laissant la chefferie aux Nyaaré�.

C’est ce Banba Sanogo qui aurait donné son nom au village : Banba-kô (après (à la suite de) Banba), ou Banba-kokô (la rivière de Banba).

Mais suivant d’autres interprétations, Banba Sanogo était installé non loin d’une rivière infestée de caïmans, d’où le nom de la ville : Bama-ko (la rivière aux Caïmans).

Quoi qu’il en soit, les Nyaaré apparaissent aujourd’hui comme les maîtres traditionnels de la ville. Ils sont installés à Bamako même, où un quartier central porte leur nom (Nyaaréla) ; mais ils sont aussi dispersés dans toute la banlieue environnante :

-le premier fils de Séribajan, Dalibafa, aurait fait souche autour des collines du Point F et du Point G, avec les villages de Sorokôrô, Bananbanin et Kumi. fis sont exclus de l ’exercice du pouvoir car leur ancêtre s ’était séparé de son père.

-le second fils, Jamusajan, resté fidèle à son père, a fondé une branche dans laquelle se transmet la chefferie de Bamako. Ses descendants peuplent les villages de Sikôrô, Ntoniba et Makônô.

B - Les premiers habitants : agriculteurs bamanan, commerçants et artisans maures, pêcheurs bozo

S’ils se disputent la paternité de la fondation de la ville, agriculteurs bamanan et commerçants maures sont d’accord pour dire qu’ils ont toujours vécu en bonne entente. II y a en effet une complémentarité évidente dans leurs activités.

Les Maures s’occupaient d’approvisionner la région en sel (et bétail) transportéjusquelààtraversle Sahel6. Ils l’échangeaient principalement contre l’or qu’ils raffinaient, transformaient en bijoux, et mettaient ensuite sur le marché. Les Maures Drawé en particulier, s’étaient, semble-t-il, spécialisés dans le nettoyage de l’or? et ont aujourd’hui encore la réputation de Siake-bijoutiers. fis en auraient conservé, parmi les attributs rituels de leur chefferie, l’enclume et le marteau**.

Arrivés pour certains de l’oued Draa, pour d’autres de 1’ Adrar du Twat, ces Maures Drawé entretenaient avec les Maures Turé des relations étroites fondées sur la communauté d’origine (Maghreb) et la croyance en la même religion (l’Islam).

Comme l’écrivent D. Diakité et B. Sanankoua, «l’installation d’un «parti» islamique à Bamako a sans doute contribué à y fixer de nombreux commerçants étrangers : Taburé, originaires de Walata ; Fasunké ou Fasuné originaires de Fez ; Kalé et Kuma ou Koromagan , originaires de Sinsarmi,

etc...»9. Ces noms patronymiques représentent actuellement les grandes fa¬ milles commerçantes et maraboutiques du pays de Bamako. Après les Turé, fondateurs de lapremière mosquée, l’imamat de la ville est passé aux Karomagan, puis aux Kalé qui le détiennent encore actuellement.

L’alliance, ou tout au moins la solidarité de tous ces groupes commer¬ çants et maraboutiques, a contrebalancé quelque peu le pouvoir des Nyaaré. Ces agriculteurs bamanan, d’origine Soninké, exerçaient en effet la chefferie politique de la ville. Il n’y a rien d’étonnant à cela, quand on sait que Bamako est située dans une vallée fertile, celle du Niger, et que son occupation permanente parles hommes a sans doute comme fondement principal l’agricul¬ ture.

Détenteurs de la chefferie politique, les Nyaaré s’occupaient également de la prêtrise du culte de la terre, qui se traduisait en particulier par des sacrifices propitiatoires pour la fécondité des femmes et la fertilité des sols. On signalait à l’époque l’existence d’un bois sacré appelé Jetu et d’un arbre sacré : le Nsereninkuru. Le génie protecteur du village, le dasiri, était et reste un python (Minyan).

Outre les Nyaaré, de nombreux autres groupes d’agriculteurs venus d’horizons divers (Bamanan du pays de Ségu, du Baninkô ou du Beledugu, Maninka de Manden, etc.) se sont installés à Bamako et dans ses environs. Ils portent des noms patronymiques comme Samaké, Tarawélé, Jara, Kulubali, Konaté, etc...

Ce sont ces cultivateurs-chasseurs qui livraient les produits de première nécessité indispensables à la subsistance de la population de Bamako.

Sur la route des caravaniers porteurs de sel de Tawdéni, de l’or du Buré et de la cola du Worodugu, le village de cultivateurs qu’était Bamako a su profiter de sa situation géographique pour acquérir un réel rayonnement dans la région soudanienne, au point qu’il attira l’attention des premiers explorateurs européens.

Mungo Parie qui l’a visitée à la fin du XVIIIe siècle, la présente comme «une ville d'un moyen ordre »... «Cependant , son peu d'étendue est plus que compensé par la richesse de ses habitants, car lorsque les Maures apportent leur sel par le Kaarta ou par le Bambara, ils s 'arrêtent habituellement quelques jours en cet endroit, et les négociants nègres du pays, qui savent quelle est la valeur du sel dans différents royaumes, l’achètent souvent en gros pour le revendre en détail avec bénéfice»�.

Ville du fleuve, située sur le grand Niger, Bamako a également attiré les hommes de l ’eau (Ji-môgô), pêcheurs et piroguiers Bozo et Somono qui ont eux aussi donné leur nom à un quartier central de la ville, au bord même du Joliba : Bozola.

La tradition des Nyaaré, rapportée par C. MeiUassoux, indique que c’est Jamusajan qui fit venir de Ségu une famille Jiré à laquelle il confia la tâche d’initier des captifs bamakois à l’art de la pêche et de la batellerie. Chaque famille principale de Bamako aurait fourni des captifs : Sinayôgô pour les Nyaaré, Tarawélé pour les Drawé, Kulubali pour les Turé.

«Ces pêcheurs sont maintenant considérés comme Somono, sauf les Sinaydgd , qui se font appeler Sitiaba et se disent Bozo. Ce sont eux qui détiennent aujourd'hui le commandement des «ba-ngô », autrement dit des «hommes du fleuve»�.

Avec ce dernier groupe, la Bamako primitive finit de se constituer avec ses quatre quartiers spécifiques : Nyaarela, Twatila (devenu Bagadaji), Drawéla et Bozola. (Fig. 4).

C - De Biton à Samori : Bamako et les États soudanais des XVIII e - XIX e siècles

Comme l’a indiqué Mungo Park, Bamako, en tant que place commer¬ ciale, était en rapports suivis avec divers royaumes de la région. Celui avec lequel elle entretenait les relations les plus étroites fut sans nul doute le royaume bamanan de Ségu. C’est à partir de la première moitié du XVIIIe siècle que ce royaume établit son hégémonie politique dans le Soudan nigérien : de Tunbutu à Kurusa et du Kaarta à Tengré. Tous les peuples lui payaient un tribut annuel, le disôngo. Il va donc sans dire que Bamako reconnaissait l’autorité des rois de Ségu. Mais mieux qu ’un simple tributaire, mieux qu’un marché-étape, Bamako avait établi des rapports privilégiés avec Ségu, du temps même de l’ancêtre fondateur du clan Nyaaré. Dans la tradition des Nyaaré, Ségu est présentée en effet comme une étape importante dans la migration de Séribajan de Jara à Bamako.

Non seulement il fut bien accueilli par le roi de Ségu, Bitôn Mamari Kulubali, et reçut en mariage une de ses sœurs (Sunba), mais de surcroît, il noua avec celui -ci un pacte de sang en prêtant le serment «de ne jamais s’ abandonner, de s'assister mutuellement en cas de guerre, de partager ensemble malheur et joie»H. En fait, comme l’indique C. MeiUassoux, il venait de naître entre les deux parties «une parenté fictive assimilée à la balimaya (parenté utérine ) » 1 3.

La conséquence immédiate de ce serment et du mariage de Séribajan et de la sœur du roi de Ségu, fut de doter le Nyaaré d’une suite de 400 esclaves, qui

plus tard allaient contribuer à assurer le pouvoir de ce clan sur diverses provinces environnantes. Car Bamako n’est pas restée une ville aux quatre quartiers recroquevillée dans son jin, c’est-à-dire son enceinte fortifiée. Les 400 esclaves reçus comme dot de Sunba furent d’abord répartis entre quatre villages : Lasa, Mikungo, Kulunikô et Grigumé, faisant de droit partie du domaine des Nyaaré.

Ensuite, de par son rayonnement économique (dont nous parle Mungo Paik), mais aussi de par son pouvoir guerrier, Bamako établit son autorité politique et morale sur de nombreux villages : Megetan, Npiyébugu, Kati, Dugabugu, Nafaji, Bla, Kuralé, etc... (Fig.5).

le tour d'afrique de bamako

Fig. 5 -Kafo de Bamako

Reproduit par le bureau de Cartographie du D.E.R. Histoire et Géographie de l'ENSUP d'après Claude Meillassoux 1963

Les deux chefs Nyaané le plus souvent cités pour leur tempérament belliqueux sont : Jamusajan, et un de ses descendants directs, Majugu Sériba�.

Mais «le domaine de Bamako s’ accrut encore par V installation d’ émi¬ grants, dont les premiers furent les Coulibali de Ségou qui, après que Ngolo Diara se soit emparé du pouvoir, vinrent chercher protection auprès de leurs alliés et parents de Bamako. Les villages de Sogolobugu, de Fanafiekoro, de Diago, Dabani, Dôyumana, Dyoko, Safo, furent ainsi créés. Petit à petit se constitua ce que les premiers colonisateurs appelèrent V Etat de Bamako, décrit comme étant composé de 23 villages occupant grossièrement un rectangle de 30 kilomètres sur 20 kilomètres et comptant environ 4400 habitants » �. C’est précisément au moment où les premiers colonisateurs y font leur entrée que le Soudan occidental est confronté à de profondes mutations politiques. Des Etats nouveaux, d’une envergure tout autre que celui de Bamako, sont en train de se constituer et vont bientôt manifester leurs velléités hégémoniques dans la sous-région. C’est le cas en particulier du royaume futanké d’Alhaji Umar Tal et de l’empire malinké de 1’ Aim ami Samori Turé.

Dès 1854, les Futanké ont entrepris la conquête de nombreux pays habités par les Bamanan : successivement le Kaarta, puis le Bélédugu tombent en leurpouvoir, et à partir de 1 86 1 , c ’est le tour du plus puissant réduit bamanan, le royaume de Ségu. Cependant, la domination futanké n’atteint pas les régions méridionales de ce royaume. Le conquérant futanké vise en effet plus au nord-est le royaume peul du Maasina dont les riches pâturages et les terres fertiles attisent ses convoitises, et dont le souverain musulman avait accordé sa protection à celui des Bamanan animistes.

Aussi bien Bamako, ainsi que les marches du Manden resteront-elles en dehors du contrôle direct du pouvoir futanké.. Mais à partir du moment où les Futanké s’installent à Ségu, Bamako est coupée de ses alliances traditionnelles, et devient en quelque sorte, «orpheline » de son puissant tuteur�.

En fait, comme l’écrivent D. Diakité et B. Sanankoua, Bamako est, en cette deuxième moitié du XIXe siècle, au cœur d’une véritable tourmente : «Sur son flanc nord, dans le Bélédugu, les Bamanan chassés de Ségu et du Kaarta par les troupes d’ El Hadji Omar continuent de résister, soutenus par les commerçants maures. Sur son flanc sud, un Etat nouveau, celui de Samori Ture

s’est constitué entre 1870 et 1875. Ayant progressivement occupé tout le haut-Niger jusqu ’ à Kangaba, Samori ne cache pas ses visées sur la vallée du Moyen Niger

Pour pousser sa conquête vers l’Empire futanké, 1* Almami Samori avait besoin de contrôler Bamako, «toute proche et située au débouché du commerce des chevaux sahéliens », si nécessaires à son armée 1 6,

Les Bamakois eux, avaient appris à connaître Samori, dont la puissance était redoutée, et dont les conquêtes résonnaient en échos dans toute la région. Les Kooroko, commerçants spécialisés du Wasulu, fréquentaient d’ailleurs le marché de Bamako*? et bien des migrants fuyant les guerres samoriennes avaient trouvé refuge dans la ville de Nyaaré*�.

Celle-ci avait conscience qu’elle était devenue à présent l’objectif immédiat de l’armée de Samori. Mais face aux visées de l' Almami, les notables de Bamako étaient divisés quant à la conduite à tenir : les uns -le clan des marchands maures -étaient prêts à s’entendre avec lui pourvu qu’il assure la sécurité des routes du commerce inter-régional ; les autres -le clan des Nyaaré -avaient de sérieuses appréhensions contre l’empire samorien, mais n’osaient pas se découvrir1�.

Quoi qu’il en soit, les grandes manoeuvres des troupes samoriennes avaient commencé autour de Bamako, dirigées par le propre frère de l’Almami et son plus grand chef de guerre : Kèmè Birama. Compte tenu des rapports de force, chacun était fondé à considérer que Kèmè Birama, alias Sori, allait s’emparer de Bamako sans coup férir. C’était compter sans les troupes françai¬ ses installées depuis peu à Kita (1881) et dont les desseins d’expansion vers l’intérieur du Soudan ont été clairement exprimés, dès 1863, par Faidherbe : «Vous voulez arriver au Soudan par V Algérie ? Vous n’y réussirez pas. Vous vous perdrez dans les sables du Sahara et vous ne les traverserez pas. Mais si, profitant des voies naturelles qui nous sont offertes, vous vous servez du fleuve Sénégal pour gagner la route du Soudan et les rives du Niger, vous y créerez une colonie française qui comptera parmi les plus belles du monde *20.

II - Bamako, de la tutelle coloniale à l’indépendance

Le plan Faidherbe ne fut pas réalisé sans difficultés. Il a été progressivement exécuté, les colonisateurs français faisant preuve d’une

certaine continuité de vue. Il est vrai aussi qu’il n’y avait pas, comme l’a fait remarquer Faidherbe, d’autres moyens pour ces colonisateurs d’arriver au cœur du Soudan.

Pour réaliser ses projets, Faidherbe commence par conquérir le Sénégal autour de Saint-Louis. Lui et ses successeurs l’agrandirent parla suite, soit par des traités de soumission, comme avec les populations du Walo, du Salum ou du pays Sérère, soit par des guerres, avec notamment le roi de Matam et les darnels du Cayor�l.

C’est alors seulement que Faidherbe se sent assez fort pouf entamer la deuxième partie du programme qu’il s’est tracé : la marche vers le Niger.

A - À l’assaut du verrou soudanais

Faidherbe quitte définitivement le Sénégal en 1864. Mais l’œuvre qu’il avait esquissée sera poursuivie par d’autres «techniciens de la colonisation » : Galliéni, Borgnis-Desboides. Déjà en 1863, Faidherbe avait envoyé une mis¬ sion de reconnaissance de 1* intérieur du Soudan, connue sous le nom de Mission Quintin-Mage. En 1879-1880, une nouvelle mission, la Mission Galliéni-Vallières, fut envoyée auprès du roi de Ségu, Ahmadu, fils d’Alhaji Umar Tal.

Le capitaine Galliéni est déçu lorsqu’il découvre Bamako en 1880, comme en témoignent ces mots : «Bamako, dont le nom est si connu dans cette partie du Soudan, ne referme plus actuellement qu’ un millier d’ habitants et ri a rien qui le distingue des autres villages de la région »22.

Installée au cœur d’un véritable foyer d’insécurité, Bamako semble donc s’être vidée d’une bonne partie de sa population et présente aux militaires français l’image d’un gros village. «Cependant , ce village présente V avantage pour les Français de n’appartenir à aucun des grands Etats de la région, à savoir l’Etat Futanké et l’Etat de Samori. Les stratèges français y voient un point d ancrage possible sur le fleuve tant convoité, puisqu’ il est situé à V entrée même de la vallée moyenne du Niger. En y prenant fermement pied, il permettrait, par sa position, de verrouiller l’Etat samorien et empêcher sa progression vers le nord. Ainsi, ruinée par les guerres, Bamako reste néanmoins le point de mire des stratèges français. ..»23#

En même temps qu’ils envoyaient des missions de reconnaissance, les Français avaient entrepris, l’arme au poing, de créer des voies de communications et d’établir une ligne de forts, avec route et télégraphe, depuis Médine jusqu’à Kita où leurs troupes s’installaient en février 1881.

Elles étaient dirigées parle chef d’escadron Borgnis-Desbordes, Com¬ mandant Supérieur du Haut fleuve (Sénégal) depuis peu, et partisan acharné de la conquête du Soudan. A peine installé à Kita (7 février 1881), Borgnis-Desbordes se lance dès le 16 février vers le Niger avec pour objectif Bamako. Il faut se dépêcher en effet pour faire pièce à la progression des troupes samoriennes qui ont le même objectif.

Après le choc devant Kéniéra où 1* armée française doit battre en retraite (26 février 1881), la marche du Niger est-elle compromise ?24. C’est compter sans la détermination de Borgnis-Desbordes qui est décidé à briser toute résistance qui ferait obstacle à la percée vers le Niger. Il faut cependant attendre 1882 pour voir cet ancien du Tonkin se lancer à nouveau à l’assaut de Bamako, le verrou soudanais. Celle-ci, après la révolte des Samaké de Tadjana contre l’empereur de Ségu, se trouvait alors isolée à l’intérieur des terres samoriennes. En outre, l’intrigue y battait son plein, comme l’indique ce témoignage du traditionnaliste Alkaw Sisoko : «Comme Samori était dans les environs de Bamako, Toubab Dramane, inquiet, est allé à Kita demander V intervention du Colonel Borgnis-Desbordes. Ce dernier luipromitde venir àBamako. Dramane Touré est revenu à Bamako. Un vendredi, après la prière, les chefs maures lui ont reproché sa démarche car, disaient-ils : «Samory est un chef musulman qui ne peut faire aucun mal aux Maures musulmans de la ville ; à la rigueur il peut s’en prendre aux Niaré, fétichistes». La nouvelle a fait le tour de la ville. Arrivé à Bamako, le Colonel Borgnis-Desbordes a reçu successivement Dramane Touré et Titi Niaré »25.

En effet, alors que Kèmè B i ram a semblait en meilleure position pour s’emparerde Bamako, alors que celle-ci s’apprêtaitdéjà àl’accueillir, «Borgnis-Desbordes, venant de Daban dans leBélédugu, se présenta auxportes de la ville qu’il occupa le 1er février 1883. BiramaNyaaré étant malade, c’est son frère Titi Nyaaré qui se charge de l’accueillir et dès le 5 février, il entreprend la construction du fort de Bamako »26.

Pour faire se tenir les Bamakois tranquilles, les «pacifier» en quelque sorte, Borgnis-Desbordes fit arrêter quelques chefs Turé le 2 avril au matin, et les fît fiisiller : il s’agit de Cékôro, son fils Titi, et son frère Sidikôrô�?.

La «pacification» terminée, l’Administration coloniale allait pouvoir s’y organiser, et vingt-cinq ans suffiront pour faire de Bamako une véritable ville coloniale. (Fig. 6).

le tour d'afrique de bamako

Fig. 6 -Bamako et ses environs (mission topographique de 1882-1883)

B - Bamako, chef-lieu de la colonie du Soudan

Au moment où allait s’achever le XIXe siècle, on pouvait considérer comme terminée la rude conquête des territoires qui devaient former la colonie du Soudan. D’abord dénommée Haut Sénégal -Niger, la colonie civile du Soudan est constituée le 21 novembre 1893. Jusqu’en 1908, Kayes sur le Sénégal en est la capitale. Mais au fur et à mesure que se précise l’occupation du pays, que sont supprimés les derniers éléments de trouble et réprimés les derniers foyers de résistance, la nécessité se fait sentir d’une «nouvelle » or¬ ganisation administrative et politique de la colonie.

Entre 1883 et 1908, Bamako qui avait été pratiquement ruinée par les guerres, va voir s ’édifier une nouvelle ville administrative. Avec la construction du fort par les Français, les populations s’y sentent en relative sécurité, tant et si bien que Bamako sera le refuge de tous ceux qui fuient l’esclavage. Les sofas déserteurs de Samori s’y réfugient également, et se transforment en manœuvres sous les ordres des ouvriers wolof et khasonké au service de l’armée colo¬ niale�.

La ville des Nyaaré va connaître alors une très rapide croissance de sa population : de 600 à 800 habitants en 1883, elle passera à 2 500 habitants en 1884, et atteindra 6 000 à 8 000 habitants en 190829.

C’est à cette date (entre les 19 et 23 mai) qu’eut lieu le transfert à Bamako du siège du Gouvernement de la colonie du Haut Sénégal-Niger�O. En prévision de ce transfert décidé par M. Roumé et le Lieutenant Gouverneur Ponty, une ville nouvelle fut construite, entre 1903 et 1908, sur les collines de Kuluba et du Point G où seront concentrés la plupart des services administratifs.

Comme l’indiquent D. Diakité et B. Sanankoua, «ces transformations au plan institutionnel ne rendent que plus rapide la croissance démographique de la ville. De 1908, date du transfert à Bamako du chef-lieu de la colonie, à 1936, veille de la Deuxième Guerre mondiale, la population passera de 8 000 habitants à 22 000 habitants environ »31.

En 1929, Mgr Guérin, cité par Mamadou Sarr, décrit Bamako en ces termes : elle «comptait un centre commercial européen entouré de huit quar¬ tiers ou villages africains, Bozola, Niaréla, Dravéla, Bamako-Koura, Darsalam, Bagadadji, Ouolofobougou etBolibana. Les cases africaines, en banco, avaient des toits en terrasse. Les principaux bâtiments étaient les Mosquées, le Marché de la société de navigation, V Inspection d’ Académie, le Soudan-Club, la Prison, l’école de la Place Maginot, la Gare, le poste de T. S P1., la Cathédrale qui n’avait pas encore le transept et le chœur »32.

Cependant, entre 1945 et 1958, en raison du gonflementde la population (de 37 000 à près de 100 000 habitants), de nouveaux quartiers sont nés : Misira, Ntomikôrôbugu, Hamdalayi, Bajalan I, II et III, Nyômiranbugu.

«D’une manière générale , notent D. Diakité et B. Sanankoua, après la Deuxième Guerre mondiale, Bamako connut un développement sans précédent, favorisé notamment par les crédits FIDES (Fonds d’investissements et de Développement Economique et Social).

Cette période, qui porte la marque du Lieutenant Gouverneur Louveau (1946-1952) a été celle des grands travaux d’aménagement et de construction qui allaient faire de Bamako une capitale digne de ce nom»�.

En fait, dès 1918, l’Administration coloniale jugea que Bamako avait atteint un développement suffisant pour en faire une commune mixte�.

Jusqu’en 1947, cette commune mixte du premier degré était placée sous la tutelle d’un administrateur-maire nommé3�, assisté d’une commission municipale dont les membres sont également nommés par arrêté du Lieutenant Gouverneur général de la colonie.

Ce n’est qu’en 1952 que Bamako sera érigée au rang de commune mixte du 3e degré : les membres de la commission municipale sont élus au suffrage universel, mais l’ administrateur-maire est toujours nommé. En application de ces nouvelles dispositions légales eurent lieu, le 12 avril 1953, les premières élections municipales de la ville avec la participation des deux principaux partis bamakois : le Parti Progressiste Soudanais (PSP) et l’US (Union Soudanaise -RDA (Rassemblement Démocratique Africain). Ces élections ont consacré une écrasante victoire de l’US-RDA, avec 61,73 % des suffrages exprimés contre 32,49 % au PSP36.

En 1955, Bamako est érigée en commune de plein exercice3?. La commune de plein exercice est administrée par un maire élu, assisté d ’un conseil municipal dont les membres sont également élus.

Un an après, le 18 novembre 1956, eurent lieu de nouvelles élections municipales qui consacrent à nouveau le triomphe du RDA : 32 sièges contre 5 seulement au PSP3 8.

Le Conseil Municipal de Bamako élisait quelques jours plus tard, le 26 novembre 1956, son maire et ses adjoints3� :

-maire : Modibo Keyita (Secrétaire Général du RDA)

-1er Adjoint : Ibrahima Sal (RDA)

-2e Adjoint : Georges Maennel (RDA)

-3e Adjoint : Yakuba Mayiga (RDA)

-4e Adjoint : Sunkalo Kulubali (RDA)

-5e Adjoint : Idrisa Jara (RDA)

Un mois après, le 27 décembre 1956, Pierre Brachet, Commandant de cercle de Bamako et administrateur-maire, remet les services de la Commune de plein exercice de Bamako à Modibo Keyita, premiermaire élu de la ville3�. Avec l’indépendance du Mali, proclamée le 22 septembre 1960, Bamako devient tout naturellement le siège du Gouvernement de la République et de toutes les institutions politiques et administratives du nouvel Etat.

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1 -Mamadou SARR. -Bamako et Banconi, son quartierillégal. p. 132 ; également Drissa DIAKITÉ et B intou SANANKOUA. Bamako, fleuve des savanes. Bamako, Gouvemorat du District, 1987, p. 3.

2 -Nyakaté a fini par donner Nyaaré, à la suite de la chute de la consonne K et de l’inversion du T et du R.

3 -Le royaume de Jaara, fondé vers le Xle siècle, fut avec Soso un des Etats Soninké le plus puissants après la chute de l’empire de Ghana. Il connut deux dynasties : Nyakaté et Jawara ;

4 -Mamadou K. CAMARA.-Légendes et traditions populaires de Bamako. Bamako : Ecole Normale Supérieure, 1988-89.

5 -Les Turé l’auraient refusée parce qu’elle serait incompatible avec la fonction maraboutique.

6 -Mungo PARK. -Voyage dans l’intérieur de l’Afrique. Paris : François Maspéro, 1982, p. 242.

7 -La technique utilisée était celle du nettoyage par le mercure.

8 -M. SARR, op. cit. 1980, p. 132, et Claude MEILLASSOUX. -Histoire et institutions du kafo de Bamako d’après la tradition des Niaré. Cahiers d’ Etudes Africaines, IV, 1963, p. 199.

9 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. cit., 1987, p. 7.

10 -Mungo Park, op. dt, p. 242.

1 1 -C. MeiUassoux, op. dt., 1963, pp. 202-203.

12 -C. MONTEIL.-Les Bambara du Ségou et du Kaaita. Paris : G.P. Maisonneuve et Larose, réd. 1977 ; G. DUMESTRE.-La geste de Ségou. Paris : Armand Colin, 1979 ; enfin Seydou THIÉRO. -Les Ngolosiw et la décadence du Fanga de Ségu, 1818-1893. Bamako : Ecole Normale Supérieure, 1984-1985. (Mémoire de fin d’études).

13 -Cl. MeiUassoux, op. dt, 1963, p. 191.

1 4 -Majugu Seriba a été chef du Clan Nyaaré du temps de T orokoro Man, qui régna à Ségu au milieu du XIXe entre 1854 et 1859 environ. Il semble que ce soit à cette époque qu’il faut situer la guerre contre Samanyana pour la cause de laquelle Ségu et Bamako étaient alliés. Mais d’autres traditions soutiennent que cela s’est passé sous Da Monzon (1808-1827)

15 -C. Meillassoux, op. cit., 1963, p. 196 ; également : La France dans I’AOF (1884, pp. 292-293), cité par C. Meillassoux. On notera que d’après le traditionnaliste Alaji Mori Jiré, Bamako comptait 64 villages (La fondation de Bamako, recueil de traditions orales, bande n° 69, C002, SAN. Bamako : répertoire de l’Institut des Sciences Humaines 1969).

16 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. cit., 1987, pp. 9-10.

17 -Jean-Loup AMSELLE. -Les négociants de la savane. Paris : Anthropos, 1977, p. 122.

1 8 -Dr COLLOMB. -Notice sur le cercle de Bamako, 1884-1 885. Bamako : Archives Nationales du Mali, Koulouba.

19 -Sékéné Mody CISSOKO. -H y a cent ans, Borgnis-Desbordes entrait à Bamako. Afrique Histoire, n° 9,

1983, p. 37. Il semble que la situation était plus compliquée que cela. On rencontrait de grands commerçants maures hostiles à Samori d’après le témoignage de certains hstes.

20 -Cité par Camille GUY.-L’Afrique occidentale française. Paris : Larose, 1929, p. 78.

21 -Camille Guy, op. dL, p. 78 ; également Guy de BOSSCHÈRE. -Les deux versants de l’Histoire. T. 1 : Autopsie de la colonisation. Paris : Albin Michel, 1967.

22 -Cité par Mamadou Sarr, op. dL, 1980, p. 137.

23 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. dt., 1987, p. 11.

24 -Sékéné Mody Cissoko, op. ciL, 1983, p. 36.

25 -Alkaw Sisoko, cité parMamadou Sarr, op. cit, 1980, pp. 138-139.

26 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. rit., 1987, p. 13.

27 -Borgnis-Desbordes lui-même a écrit plus tard : alors que le chef des «Bamakois fétichistes», Titi Nyaaré «nous accueillit comme des libérateurs», «les Maures marchands d'esclaves (...) avaient fait alliance avec Samory, (...) et entretenaient avec lui des relations suivies » (Bamako hier, aujourd’hui et demain). In : Les Annales sénégalaises de 1854 à 1885. Bamako : Archives Nationales du Mali, Koulouba.

28 -Mamadou Sarr, 1980, pp. 140-141.

29 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. dt., 1987, p. 14.

30 -En 1920, le Haut Sénégal-Niger redevient Soudan français.

31 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. dt, 1987, p. 15.

32 -Mamadou Sarr, 1980, pp.142-143.

33 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. dL, 1987, p. 16.

34 -Arrêté Général du 20 décembre 1978. Journal Officiel de l'Afrique Occidentale Française (JO -AOF), n° 844 du 22 janvier 1921, p. 91.

35 -En fait, c’est le Commandant du Cercle, c’est-à-dire le chef de Circonscription administrative qui assurait en même temps les fonctions «d’ Administrateur-Maire». Journal Officiel duHaut Sénégal-Niger (JO -HSN), n° 299 du 1er janvier 1919, p. 38.

36 -Mamadou Doumbia. -Les luttes politiques à Bamako de 1945 à 1960. Bamako : Ecole Normale Supérieure, 1987, p. 81. (Mémoire de fin d’études).

37 -Loi n° 55 -1489 relative à la réorganisation municipale en AOF. JO-AOF, décembre 1955.

38 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. dt., 1987, p. 22.

39 -D. Diakité et B. Sanankoua, op. dL, 1987, p. 24.

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Mort de Toumani Diabaté dieu de la Kora

L’artiste malien s’est éteint à Bamako à l’âge de 58 ans, des suites de maladie, il a fait le tour du monde avec l’instrument dont il jouait comme personne.

Par Valérie Marin La Meslée

le tour d'afrique de bamako

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C' est son fils Sidiki Diabaté, lui-même musicien, qui l'a annoncé sur les réseaux sociaux : l'artiste malien Toumani Diabaté est décédé ce vendredi 19 juillet à l'âge de 58 ans, à la Clinique Golden Life où il était hospitalisé depuis plusieurs jours à Bamako précise Le journal du Mali. Et tous les musiciens du monde sont en deuil tant sa kora avait fait le tour de la planète et s'était accordée avec tant d'autres musiciens, des Cubains à Björk, et ses compatriotes comme le grand Ali Farka Touré, avec lequel il a remporté deux Grammy Awards, pour l'album “In the Heart of the Moon” puis pour “Ali et Toumani”. Ou encore Cheikh Tidiane Seck. Mathieu Chédid, qui l'a souvent côtoyé et joué avec lui avait dédié une très belle chanson Manitoumani où chantait aussi Fatoumata Diawara .

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Nous l'avions rencontré à de nombreuses reprises, pour France Culture, et pour un livre sur les artistes bamakois, réalisé avec la photographe Christine Fleurent, et dont voici un extrait ci-dessous.

« Celle-là ! Oui, c'est bien lui, la main recourbée sur le manche de son instrument, le buste légèrement incliné et le regard tourné vers l'intérieur du son qu'il produit. Sur l'écran de l'ordinateur de Christine Fleurent défilent des photos de Toumani Diabaté, volées le temps d'une répétition dans ce local du quartier Ouolofobougou Bolibana, à côté du cinéma Babemba. […]Voilà Toumani lorsqu'il joue. Je le sais, je l'ai vu plusieurs fois en concert, le silence est absolu dans la salle, qui n'existe plus réellement ; il n'y a que le son, miel, cristal, gouttelettes de pluie… L'artiste est un dieu de la kora. Il joue comme trois musiciens à la fois de cette harpe-luth aux vingt et une cordes, caractéristique de l'Afrique de l'Ouest, et plus particulièrement de l'empire mandingue. On doit à Toumani Diabaté le premier album solo d'un joueur de kora : « Kaira ».

« En 2006, à Paris, le Louvre invitait le prix Nobel de littérature Toni Morrison à « habiter » le musée à sa façon. Elle avait choisi le thème « Étranger chez soi » et, pour la partie musicale, avait convié, parmi d'autres, Toumani Diabaté. Dans ce lieu historique, Toumani apportait sa culture mandingue, vieille de sept cents ans. (..) Fils de Sidiké Diabaté, déjà un roi de la kora au Mali, et de la chanteuse Néné Koita, Toumani est griot comme on l'est de père en fils chez les siens. « griot maître-musicien, précise-t-il, et maillon d'une chaîne qui remonte au xviiie siècle… Si l'Afrique de l'Ouest était une personne vivante, le griot-djeli serait son sang. » L'image est forte, mais Toumani ne s'y arrête pas, mêlant son sang à celui des autres. Il s'est allié au groupe de flamenco Ketama, au bluesman Taj Mahal, aux musiciens cubains du Buena Vista Social Club. En témoigne le nom qu'il a choisi pour sa formation, Symmetric Orchestra. Il signifie « complémenta- rité », car le rôle du griot, et plus précisément du griot-djeli, est d'établir la communication entre les gens, et pas uniquement sur un plan historique.

« Le Boulevard de l'Indépendance », titre d'un de ses albums, est celui d'une artère qui mène Bamako à toutes les anciennes régions du grand empire mandingue, dont Toumani reforme l'âme musicale en lui ouvrant les portes de la modernité. L'artiste a su abolir les distances et déplacer les montagnes pour créer des rencontres et amener les autres chez lui, à Bamako. Le producteur anglais Damon Albarn, ou encore la chanteuse islandaise Björk, « tombée amoureuse de la kora… », me dit-il. Comme moi de celle de Toumani. J'aurais écrit la plupart de ces lignes en sa compagnie, et celle de son maître, Ali Farka Touré, à l'écoute en boucle de leur album commun, « In the Heart of the Moon », qui se redécouvre à l'infini en grand classique universel. Depuis la mort d'Ali Farka, Toumani préserve activement sa mémoire, à la tête d'une fondation et du festival qui se tient chaque année dans le village natal du plus grand guitariste malien, Niafunké. Leur rencontre a marqué les retrouvailles entre le Mali du Nord, celui d'Ali Farka, et le Mali du Sud, celui de Toumani : deux « étrangers chez eux », dialoguant.

Un soir, au Casino de Paris, pour la sortie du deuxième album réunissant Toumani et Ali Farka Touré, qui parvint à l'enregistrer malgré sa maladie avancée, M, Matthieu Chedid, arriva sur scène en guest-star. De ce duo unissant la guitare d'un jeune musicien français à la kora d'un griot malien d'aujourd'hui sortirent des accords divins, à la hauteur des notes venues du cœur de la lune, from the heart of the moon . » (Extrait de Novembre à Bamako ) ed. Bec en l'air-Cauris Editions.

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Commentaires (5)

Un excellent musicien, des accords parfaits. Ceux qui ne l'ont jamais écouté devraient le faire, ils comprendront ce qu'est la beauté.

Inconnu très illustre parmi quelques uns sans doute...

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Le Mali et le monde de la musique pleurent le roi de la kora Toumani Diabaté

Toumani Diabaté, ici aux côtés de Matthieu Chedid en 2017, était l'un des maîtres de la kora. Il s'est éteint à 58 ans, a annoncé sa famille.

C. A. avec AFP

Publié le 20/07/2024 à 11h14 • Mis à jour le 20/07/2024 à 12h14

Il s’est éteint vendredi dans une clinique privée de Bamako . Agé de seulement 58 ans, Toumani Diabaté était tout simplement présenté comme le roi de la kora. Emporté par une courte maladie, le musicien malien était devenu l’un des maîtres de cet instrument à cordes complexe à jouer et véritable emblème d’Afrique de l’Ouest.

« Mon cher papa s’en est allé à jamais », a indiqué son fils et artiste Sidiki Diabaté sur Facebook. Toumani Diabaté, né en 1965 à Bamako, est issu d’une famille de griots, des gardiens des traditions et détenteurs d’histoire orale.

Un album de rêve avec M

Toumani Diabaté s’est également régulièrement produit en France, notamment aux côtés du chanteur M, avec qui il avait travaillé sur l’exceptionnel album «  Lamomali  » . On vous glisse un petit extrait d’un concert à La Rochelle qui vous donnera une idée de l’ambiance de feu incarnée par Matthieu Chedid, Sidiki et Toumani Diabaté et la chanteuse Fatoumata Diawara.

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Le chanteur sénégalais Youssou Ndour a salué « un virtuose de la kora, un arrangeur musical hors pair », sur X. La diva malienne Oumou Sangaré affirme que « le monde de la musique perd aujourd’hui l’un de ses plus grands ambassadeurs », sur Facebook. Pour elle, plus qu’un virtuose de la kora , Toumani Diabaté était « un pont entre nos traditions ancestrales et la modernité, un artiste qui a su porter la voix du Mali aux quatre coins du monde ».

Il avait commencé la kora à 5 ans

Toumani Diabaté a commencé à jouer « dès l’âge de cinq ans » dans l’entourage de sa famille de griots avant de rejoindre l’Ensemble instrumental du Mali, témoigne, sur Facebook, l’ambassadrice du Mali au Canada, Fatima Braoulé Meité.

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La Nouvelle Tribune

Mali: un nouveau succès pour l’armée près de l’Algérie

Charly Hessoun

le tour d'afrique de bamako

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La marche triomphale des Forces armées maliennes (FAMa) se poursuit dans le nord du pays. Quelques mois après la reprise emblématique de Kidal , fief historique des rebelles touaregs, l’armée malienne vient de franchir une nouvelle étape stratégique. Pour rappel, en novembre 2023, la reconquête de Kidal par les FAMa avait marqué un tournant décisif dans le conflit qui déchire le Mali depuis plus d’une décennie. Cette victoire, aussi symbolique que militaire, avait permis au gouvernement de transition de Bamako d’affirmer son autorité sur une région longtemps considérée comme le bastion de l’irrédentisme touareg. Aujourd’hui, les forces gouvernementales poussent encore plus loin leur avantage, étendant leur contrôle jusqu’aux confins du territoire national.

Le lundi 22 juillet 2024 , les FAMa ont annoncé avoir pris le contrôle d’Inafarak, une localité située à seulement 122 kilomètres au nord-ouest de Tessalit , à un jet de pierre de la frontière algérienne. Ce mouvement audacieux témoigne de la détermination de Bamako à restaurer son autorité sur l’ensemble du territoire malien. Inafarak, décrite par l’armée comme un «  carrefour commercial très important « , revêt une importance stratégique capitale. Sa position géographique en fait un point névralgique pour les trafics en tous genres qui prospèrent dans cette région désertique aux frontières poreuses.

La prise d’Inafarak s’inscrit dans une stratégie plus large visant à asphyxier les groupes armés qui défient l’autorité de l’État malien. En coupant leurs voies d’approvisionnement et en perturbant leurs réseaux logistiques, l’armée malienne cherche à affaiblir durablement la «  coalition mafieuse  » dénoncée par Bamako. Cette coalition hétéroclite regroupe aussi bien des jihadistes liés à Al-Qaïda que des rebelles touaregs du Cadre stratégique pour la défense du peuple de l’Azawad (CSP-DPA) , anciens signataires de l’accord de paix de 2015 désormais caduc.

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Une stratégie de projection de force.

L’opération menée à Inafarak revêt une importance qui dépasse le simple aspect militaire. Elle constitue une démonstration de force qui envoie un message clair aux groupes armés, mais aussi à la communauté internationale. En projetant ses forces aussi loin au nord, l’armée malienne affirme sa capacité à opérer sur l’ensemble du territoire national, y compris dans les zones les plus reculées et inhospitalières. Cette avancée s’apparente à un véritable coup de maître stratégique, comparable à un joueur d’échecs qui placerait audacieusement sa tour en territoire ennemi.

Cette progression soulève cependant des questions quant à la pérennité de la présence militaire dans ces régions éloignées. Les mouvements de va-et-vient observés à Inafarak, avec un retrait suivi d’un retour en force, suggèrent que l’armée privilégie pour l’instant une stratégie de projection de puissance plutôt qu’une occupation permanente. Cette approche flexible permet aux FAMa de maximiser l’impact psychologique de leurs opérations tout en minimisant les risques d’enlisement. On pourrait comparer cette tactique à celle d’un boxeur qui multiplie les jabs pour déstabiliser son adversaire sans s’exposer excessivement.

La réaction des groupes armés à cette nouvelle donne militaire reste à observer. Un cadre militaire rebelle, sollicité par RFI, a tenté de minimiser l’importance de l’avancée malienne, affirmant que leurs positions principales se trouvent loin des zones habitées. Cette déclaration pourrait être interprétée comme un aveu de faiblesse, les rebelles se trouvant contraints de céder le terrain aux forces gouvernementales.

Alors que l’armée malienne poursuit sa progression vers le nord, avec Tinzaouaten comme possible prochaine étape, l’avenir du Sahel se dessine sous de nouveaux auspices. Entre affirmation de la souveraineté nationale et recomposition des alliances régionales, le Mali joue une partie d’échecs géopolitique dont l’issue reste incertaine.

Les implications de cette avancée dépassent largement les frontières maliennes, affectant potentiellement l’équilibre fragile de toute la région sahélienne.

La prise d’Inafarak marque indubitablement un nouveau chapitre dans la longue quête de stabilité et d’unité du Mali . Cependant, les défis restent nombreux. La consolidation de ces gains militaires passera nécessairement par un effort de développement et de réconciliation dans ces régions longtemps marginalisées. Le véritable test pour Bamako sera de transformer ces succès militaires en une paix durable, capable de répondre aux aspirations de toutes les composantes de la société malienne.

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Une réponse

Avatar de Napoléon

Que toute l’Afrique Noire en lutte pour la vraie indépendance et la souveraineté authentique des États de l’Afrique de l’Ouest se joigne au Mali, au Burkina Fasso et au Niger pour mettre fin aux frontières artificielles tracées par la colonisation et libérer définitivement le peuple Noir du joug du colonialisme et de l’impérialisme.

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Mort de Toumani Diabaté, maître malien de la kora

Toumani Diabaté, né en 1965 à Bamako, était issu d’une famille de griots, des gardiens des traditions et détenteurs d’histoire orale. Il était réputé pour son art de la kora.

Le Monde avec AFP

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Le musicien malien Toumani Diabaté en concert en marge du Festival de Cannes, le 21 mai 2017.

Il était surnommé le « roi de la kora » , la harpe-luth des griots d’Afrique de l’Ouest  : le chanteur malien Toumani Diabaté est mort, vendredi 19 juillet à Bamako, à l’âge de 58 ans. « Mon cher papa s’en est allé à jamais » , a annoncé son fils et musicien Sidiki Diabaté sur Facebook.

Il est mort à la suite d’une courte maladie, a précisé sa famille sur les réseaux sociaux ; dans une clinique privée de la capitale Bamako, a déclaré à l’Agence France-Presse un autre membre de sa famille, sans plus de détails.

Le chanteur malien Salif Keita a déploré sur les réseaux sociaux « la perte [du] trésor national » du Mali.

« La kora est orpheline de son maître »

Toumani Diabaté, né en 1965 à Bamako, était issu d’une famille de griots, des gardiens des traditions et détenteurs d’histoire orale. Il était réputé pour son art de la kora. Toumani Diabaté a « commencé à apprendre à jouer dès l’âge de 5 ans » dans l’entourage de sa famille de griots avant de rejoindre l’Ensemble instrumental national du Mali, témoigne, sur Facebook, l’ambassadrice du Mali au Canada, Fatima Braoulé Méïté .

Il a joué en compagnie de grandes stars maliennes, dont Ballaké Sissoko, un autre grand joueur de la kora, et Ali Farka Touré, autre grand nom de la musique de ce pays ouest-africain, a-t-elle ajouté.

Le musicien sénégalais Youssou N’Dour a salué « un virtuose de la kora, un arrangeur musical hors pair » . Le journaliste malien Seydou Sissouma a réagi dans un message sur X : « L’immense Toumani Diabaté a tiré sa révérence. Ce soir, la kora est orpheline de son maître. »

Mon frère et Ami, le virtuose de la Kora et Arrangeur musical hors pair, Toumani Diabaté vient de nous quitter. Un Ambassadeur du Mali, Un Ambassadeur de l'Afrique vient de nous quitter. Mes condoléances à toute sa famille. RIP mon frère. #RIPToumani_Diabate pic.twitter.com/dSaqbUTZfv — YOUSSOU NDOUR (@YoussouNdourSN) July 19, 2024

Pour la diva malienne Oumou Sangaré, « le monde de la musique perd aujourd’hui l’un de ses plus grands ambassadeurs » . Plus qu’un virtuose de la kora, Toumani Diabaté était « un pont entre nos traditions ancestrales et la modernité, un artiste qui a su porter la voix du Mali aux quatre coins du monde » , a-t-elle salué sur Facebook.

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    La Tour d'Afrique est un imposant monument devenu un grand carrefour giratoire de Bamako, Mali . Elle se trouve à l'une des portes des plus empruntées par les voyageurs.

  5. Tour d'Afrique Mali

    La Tour d'Afrique est un imposant monument devenu un grand carrefour giratoire de Bamako, Mali. Elle se trouve à l'une des portes des plus empruntées par les voyageurs. Elle a été conçue en 1994 dans le style de l'architecture néo-soudanaise.

  6. Monuments de Bamako

    Aujourd'hui, tous ces monuments font partie de la vie bamakoise et contribuent à l'embellissement de la ville. Ils sont devenus les symboles de la ville, à l'image de la Tour Eiffel de Paris. Au delà de l'aspect esthétique, les Bamakois leur reconnaissent aussi un côté didactique (malgré le manque de plaques).

  7. Tour d'Afrique/The Tower of Africa: Bamako

    Glimpses of Mali: Tour d'Afrique/The Tower of Africa is one of the iconic monuments and roundabouts (Traffic Circles) of Bamako, 11 December 2020. This Africa Tower has a museum and stairs...

  8. 7 monuments à absolument voir

    Tour de l'Afrique. La Tour de l'Afrique est conçue en forme de baobab, il a une hauteur de 46 m. Décorée à l'extérieur d'idéogrammes Bamanan, ce monument est un appel à l'unité. Elle se situe à Faladié. Bamako c'est la ville aux multiples monuments ! Bonne balade !

  9. A la découverte du Mali I Tour d'Afrique, Tour de Pirogue, Le 365 I

    Instagram: https://www.instagram.com/baba_cmn_/ Snapchat: https://www.snapchat.com/add/abdouramanedeme?share_id=l2Cb%2F3gnTvOiMvThEw8lFA&locale=en_CA&sid=c7b...

  10. La Tour d'Afrique

    Conçue comme un baobab géant de 46 mètres avec à la base des contreforts saillants, la tour se situe à l'entrée de la ville sur une des voies d'accès à l'aéroport de Bamako. Elle est décorée à l'extérieur d'idéogrammes bamanan évoquant la concertation, l'union et la solidarité.

  11. Mali : Commémoration des 15 ans de la tour de l'Afrique : Le rêve des

    La tour de l'Afrique a soufflé sur ses 15 bougies dans une ambiance festive le jeudi 11 Février 2016 sous la houlette du ministre de la Culture, de l'Artisanat et du Tourisme en présence d'une belle brochette d'acteurs incontournables de la culture malienne dont la Directrice de la tour de….

  12. Visiter Bamako : les 20 choses à faire dans le pays

    - La tour de l'Afrique : c'est le symbole de la ville. La tour ressemble à un baobab géant. - La place de la liberté : la place rend hommage aux héros de l'armée noire. - Le marché de...

  13. BAMAKO, la rivière aux caïmans

    L'univers des rêves paisibles de Bamako (restaurant le Santoro, de l'hôtel le Djenné et du Centre Amadou Hampaté Ba). La piste touristique de Koulouba ou du Point G offre une vue panoramique de Bamako. La grotte préhistorique du Point G contient des peintures rupestres.

  14. Photo : Tour de l'Afrique à Bamako

    Sommet de la tour d'une hauteur de 46 mètres, érigée Place de l'Afrique, au carrefour des principaux axes routiers passant par Bamako. Elle assemble divers éléments issus du patrimoine africain.

  15. « Après le Mali, à qui le tour ? » : l'Afrique de l'Ouest sur le qui-vive

    En Côte d'Ivoire, qui a connu une petite flambée de violence depuis l'annonce de la candidature de l'actuel chef de l'Etat à la présidentielle du 31 octobre, les événements maliens sont...

  16. Visiter Bamako

    10 Choses à Visiter à Bamako. 1. Le Musée National de Bamako. En premier lieu le Musée national du Mali est un musée archéologique et ethnologique situé à Bamako. 2. Le Parc National du Mali. ensuite le Parc National Du Mali. 3. Zoo De Bamako.

  17. Chapitre I

    La nouvelle a fait le tour de la ville. Arrivé à Bamako, le Colonel Borgnis-Desbordes a reçu successivement Dramane Touré et Titi Niaré »25.

  18. Tour de la BCEAO (Bamako)

    La tour de la BCEAO est un gratte-ciel situé avenue Moussa-Travelle, dans le quartier du fleuve, commune III à Bamako, la capitale du Mali. En plus de l'hôtel de l'amitié, elle compte parmi les quelques gratte-ciel de la ville et abrite le siège malien de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest .

  19. Bamako City Tour : A la découverte des sites et monuments

    Après ce monument riche d'histoires coloniales, le cap est mis sur le symbole de l'unité, de l'intégration africaine et du Panafricanisme : la Tour de l'Afrique. Les visiteurs du jour ont eu le bonheur de découvrir ce monument datant de 22 ans, d'une hauteur d'environ 50 mètres.

  20. Visiter Koulikoro : préparez votre séjour et voyage Koulikoro

    Que faire Koulikoro : visitez les plus beaux endroits Koulikoro, préparez votre voyage et vos vacances (hébergement, location, transport, activités).

  21. Bamako city tour : faire du tourisme un moteur de croissance pour le

    la Tour de l'Afrique, le Parc des Sofas, le Monument Kwamé Nkrumah, le Conservatoire multimédia Balla Fasséké Kouyaté, des musées des galeries et des trésors humains vivants comme Mariam Bagayoko, entre autres.

  22. Mosquée de la Tour de l'Afrique

    Mosquée de la Tour de l'Afrique (Bamako, Région de Koulikoro) est une mosquée situé sur Avenue de l'O.U.A.. Mapcarta, la carte ouverte.

  23. Mort de Toumani Diabaté dieu de la Kora

    International; Afrique; Mort de Toumani Diabaté dieu de la Kora. L'artiste malien s'est éteint à Bamako à l'âge de 58 ans, des suites de maladie, il a fait le tour du monde avec l ...

  24. Faladie Bamako Tour D'Afrique

    Faladie Bamako Tour D'Afrique. Monument Tour D'eifel Eifel Tower. Republic Du Mali. The Malian Capital. La Capitale Du Mali "Bamako"The Republic of Mali Wes...

  25. Le Mali et le monde de la musique pleurent le roi de la kora Toumani

    Bonnet / AFP. Il s'est éteint vendredi dans une clinique privée de Bamako. Agé de seulement 58 ans, Toumani Diabaté était tout simplement présenté comme le roi de la kora. Emporté par ...

  26. Au Mali, le chef de la junte tenté de troquer le treillis pour le

    A Bamako, beaucoup ne doutent plus de la volonté du colonel de troquer son treillis pour le costume de président. Avec toutefois un délai incompressible : depuis qu'il l'a fait changer, en ...

  27. Mali: un nouveau succès pour l'armée près de l'Algérie

    La marche triomphale des Forces armées maliennes (FAMa) se poursuit dans le nord du pays. Quelques mois après la reprise emblématique de Kidal, fief historique des rebelles touaregs, l'armée malienne vient de franchir une nouvelle étape stratégique.Pour rappel, en novembre 2023, la reconquête de Kidal par les FAMa avait marqué un tournant décisif dans le conflit qui déchire le Mali ...

  28. Afrique de l'Ouest : JO 2024 : les juntes, casse-tête de la diplomatie

    La composition des délégations des pays dirigés par des juntes aux Jeux olympiques de Paris 2024 a fait l'objet d'arbitrages serrés entre le CIO et le Quai d'Orsay. Le 26 juillet, plus de cinquante délégations africaines assisteront à la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques (JO) de Paris 2024. Si, pour la très grande majorité d ...

  29. Mort de Toumani Diabaté, maître malien de la kora

    Toumani Diabaté, né en 1965 à Bamako, était issu d'une famille de griots, des gardiens des traditions et détenteurs d'histoire orale. Il était réputé pour son art de la kora.

  30. Coup d'État de 2023 au Niger

    Le coup d'État de 2023 au Niger intervient le 26 juillet 2023 lorsque le président Mohamed Bazoum est séquestré dans le palais présidentiel par des militaires de la garde présidentielle, tandis que l'armée encercle le bâtiment et menace de donner l'assaut pour délivrer Bazoum. Dans la soirée, un autre groupe de soldats annonce sa destitution et la formation d'une junte militaire sous ...